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Plus de 300 migrants ont été arrêtés, placés en garde à vue et déférés devant la justice, qui se penche de près sur les questions migratoires.Ces migrants « ont été arrêtés à la suite d’un contrôle d’identité au faciès, ou même à la suite de leur présence devant les tribunaux en soutien à leurs proches », ont dénoncé les signataires du texte. Selon eux, « l’État tunisien fait la sourde oreille sur la montée du discours haineux et raciste sur les réseaux sociaux et dans certains médias »
Ce discours « est même porté par certains partis politiques, qui mènent des actions de propagande sur le terrain facilitées par les autorités régionales », ont-ils ajouté.
Dénonçant « les violations des droits humains » dont sont victimes les migrants, green youth association for sustainable development a appelé les autorités tunisiennes « à lutter contre les discours de haine, la discrimination et le racisme envers eux et à intervenir en cas d’urgence pour garantir la dignité et les droits des migrants ».